12 mars 2010
5
12
/03
/mars
/2010
16:47
Marie-France Theulot reçoit les Palmes académiques des mains des mains de J.Broyer, inspecteur de l'EN
C'est dans les locaux de l'association de solidarité avec les travailleurs immigrés que Marie-France Theulot a souhaité recevoir les Palmes académiques.
Cette distinction met en valeur " un parcours de vie qui dépasse le simple parcours professionnel d'une enseignante.". Après une carrière d'institutrice qui s'est terminée comme directrice d'école, Marie-France Theulot s'est engagée au sein de l'Asti, dans l'atelier "Lire et écrire, compter".
Elle participe à aider les femmes immigrées à accéder à la langue, à la culture pour, dira-t-ell, "combattre l'hydre du racisme et celui de l'inégalité".
Cet engagement auprès des populations, Marie-France Theulot, l'hérite certainement de son grand-père et de son père, reconnus "Justes parmi les nations".
Son grand-père Georges Vigoureux était commissaire de police à Rosendael à la déclaration de la guerre en septembre 1939 et son père Jacques a été élève de notre établissement de 1940 à 1942. Tous deux, pour leurs actions en 1943-44, à Bagnères-de-Bigorre, dans les Hautes-Pyrénées, figurent au nombre des Justes parmi les Nations. Ces gens qui, non juifs, ont sauvé au péril de leur vie des Juifs.
Marie Theulot est venue en novembre dernier faire une série de conférences, dans l'amphithéâtre des Dunes, sur "Les Justes parmi les Nations"
lire le compte rendu de la conférence et les articles de presse en cliquant ici
C'est dans les locaux de l'association de solidarité avec les travailleurs immigrés que Marie-France Theulot a souhaité recevoir les Palmes académiques.
Cette distinction met en valeur " un parcours de vie qui dépasse le simple parcours professionnel d'une enseignante.". Après une carrière d'institutrice qui s'est terminée comme directrice d'école, Marie-France Theulot s'est engagée au sein de l'Asti, dans l'atelier "Lire et écrire, compter".
Elle participe à aider les femmes immigrées à accéder à la langue, à la culture pour, dira-t-ell, "combattre l'hydre du racisme et celui de l'inégalité".
Cet engagement auprès des populations, Marie-France Theulot, l'hérite certainement de son grand-père et de son père, reconnus "Justes parmi les nations".
Son grand-père Georges Vigoureux était commissaire de police à Rosendael à la déclaration de la guerre en septembre 1939 et son père Jacques a été élève de notre établissement de 1940 à 1942. Tous deux, pour leurs actions en 1943-44, à Bagnères-de-Bigorre, dans les Hautes-Pyrénées, figurent au nombre des Justes parmi les Nations. Ces gens qui, non juifs, ont sauvé au péril de leur vie des Juifs.
Marie Theulot est venue en novembre dernier faire une série de conférences, dans l'amphithéâtre des Dunes, sur "Les Justes parmi les Nations"
lire le compte rendu de la conférence et les articles de presse en cliquant ici